Un an après la signature du contrat de génération, l'entreprise dresse un premier bilan positif. En 2013, Sébastien Jeanpierre, alors jeune ingénieur en paysage, a été accueilli par Bernard Pouteau, son tuteur, selon les conditions de ce type de contrat (voir l'encadré). Le jeune homme est tout d'abord arrivé pour suivre un stage de trois mois en 2010, puis un CDD de cinq mois en 2012, à la fin de ses études à Agrocampus Ouest (Angers - 49). C'est ensuite qu'un contrat de génération a été signé pour un CDI, en tant que conducteur de travaux-chef de chantiers. « Je bénéficie d'une transmission de savoir sans griller les étapes. Et je peux apporter de nouvelles techniques, un nouveau regard... », témoigne Sébastien Jeanpierre.
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Contrat de génération : une double transmission
Au coeur du Maine-et-Loire, l'engagement dans un contrat de génération a permis aux Ets Pouteau Paysage l'embauche d'un jeune « avec des compétences et des idées nouvelles ».
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