Didier Conjard, arboriculteur dans la Drôme, a isolé un atelier de production- transformation pour le louer. Avec l’appui de la chambre d’agriculture, il avait décidé de séparer une entité viable, capable de dégager 40 000 € de CA. Son projet : le repreneur louerait les surfaces et son matériel, et emploierait les salariés permanents une partie du temps. Une formule souple, peu engageante financièrement. Lui continuerait d’amortir le matériel, de sécuriser la main-d’œuvre et se dégagerait du temps.
                
                  Contenu réservé
                
              
              Le conseil du mois Installation : «J’ai cédé une partie de mes activités »
291
                
  Contenu réservé aux abonnés du Lien Horticole
      Pour y accéder : 3 possibilités !
    
    
          27 %
        
        
      Vous avez lu 27 % de l'article
Vous êtes déjà abonné,
          Si vous n'avez pas de compte, inscrivez-vous. Vous aurez besoin de votre numéro d’abonné.
J'ai déjà un compteVous n’êtes pas abonné, abonnez-vous.
          Profitez de l’intégralité des contenus du site en vous abonnant en formule Intégrale ou 100% Numérique.
Vous n’êtes pas abonné, découvrez gratuitement.
          Profitez, sans engagement, de tous les services de Le Lien Horticole pendant 1 mois, y compris l’accès complet au site Internet.
 
       
      


