Pyrus calleryana a été décrit et illustré en 1871 par Joseph Decaisne, à partir de matériel fleuri rapporté de Chine par Joseph Callery, missionnaire vers 1840. Plusieurs formes et variétés ont été reconnues au cours du temps. En plus de la variété type, le dernier Flore de Chine distingue ainsi integrifolia (dont la marge des feuilles n’est pas dentée), lanceata (à feuilles étroites) et koehnei (à feuilles à base en coin). Cette dernière est parfois traitée comme une espèce distincte et, parallèlement, Pyrus taiwanensis pourrait n’être qu’une variété de Pyrus calleryana. Des données génétiques récentes laissent supposer une origine hybridogène, ayant impliqué en particulier Pyrus pashia et Pyrus betulifolia.
Il a été amélioré aux États-Unis, où plusieurs clones ont été largement plantés. Son emploi divise là-bas, car il s’échappe et devient envahissant. Rien de tel encore en Europe, où le cultivar ‘Chanticleer’, surtout, est plébiscité comme arbre d’alignement polyvalent.
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