Sous les trois noms Quercus petraea, Quercus pubescens et Quercus robur, on recense douze sous-espèces (quatre sous petraea, cinq sous robur et trois sous pubescens) mais également plus de 500 synonymes dont plus de 400 sont des noms d’espèces. C’est dire la difficulté qu’il y a eu à distinguer ces espèces et surtout à traiter la variabilité morphologique liée à de l’isolement ou à des introgressions (des échanges entre populations), voire des hybridations, dans toute leur aire de répartition, du Portugal au Caucase.
Les chênes à feuillage caduc indigènes en France - Quercus petraea, Quercus pubescens et Quercus robur - ont des histoires nomenclaturale et évolutive complexes. Photo principale : chêne dont seul le patrimoine pubescent est indiscutable. En médaillon : détail de jeune feuillage montrant la pubescence.
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