Des aiguillons, nommés parfois à tort des épines, sont présents chez plusieurs espèces de plantes très différentes : les aubergines et les tomates, mais aussi chez les rosiers. Cette caractéristique est une convergence évolutive, comme les ailes des insectes, des chauves-souris et des oiseaux. Une équipe internationale de chercheurs vient de publier dans la revue scientifique Science* le mécanisme génétique à l’œuvre dans le développement de ces excroissances. Et elle donne des clés pour les éliminer chez les plantes cultivées.
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Végétal Un gène pour garder ou non les épines des rosiers

Des recherches scientifiques ont révélé l’origine du développement des aiguillons.
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