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EXOTIQUES ENVAHISSANTES Combiner science participative et rapports officiels

Les sciences participatives sont un outil précieux pour la détection précoce d’espèces envahissantes, comme ici le tigre du chêne. Dommages causés par Corythucha arcuata.
Les sciences participatives sont un outil précieux pour la détection précoce d’espèces envahissantes, comme ici le tigre du chêne. Dommages causés par Corythucha arcuata. ©Ryan Armbrust, Kansas Forest Service/Bugwood.org

Avec le développement d’applications et d’outils automatisés, des « citoyens scientifiques » participent activement au repérage précoce des invasions biologiques.

Stoc (Suivi temporel des oiseaux communs) ou Vigie-Nature font partie des programmes entièrement dédiés aux sciences participatives, qui sont dorénavant très nombreux et touchent tous les domaines, y compris la chimie ou l’astronomie. Une équipe de chercheurs européens a conclu – dans une étude parue en janvier dernier* – qu’ils constituent un mode de surveillance particulièrement efficace afin de détecter ou de suivre une espèce exotique envahissante (EEE). 

Peu de décalage entre les signalements officiels et la science citoyenne

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