Manque de luminosité, manque de chaleur : les conditions climatiques déplorables du printemps 2013 resteront dans la mémoire des professionnels de la filière. Première conséquence : les ventes de végétaux n'ont pas été brillantes. Mais cette situation est-elle uniquement due au climat ? D'autres facteurs peuvent-ils expliquer l'évolution de la commercialisation des produits horticoles dans la conjoncture actuelle ?

Avec un chiffre d'affaires de 7,477 milliards d'euros en 2012, le secteur du jardin amateur est un créneau très lucratif. Ce constat pourrait être favorable à la filière horticole, mais ce marché ne concerne pas uniquement les végétaux. Il inclut également les produits manufacturés : les outils, les équipements, la décoration et les loisirs. Quelle place est donc réellement accordée aux végétaux et comment faire pour qu'ils prennent davantage d'ampleur ?
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