À l'occasion d'une conférence organisée sur le Salon du végétal, Alain Ferre, de l'Astredhor Loire-Bretagne (site d'Angers), a pris à contre-pied le sujet des plantes de services pour l'aborder sous l'angle... socio-économique. Ces plantes, disposées autour ou au sein d'une culture, apportent un avantage à la production : elles servent de réservoirs de nourriture pour les auxiliaires généralistes, ou de pièges à ravageurs – comme le Bergenia pour l'otiorhynque ou l'aubergine pour l'aleurode – ; ou, fleuries, elles attirent les auxiliaires adultes floricoles. Mais ces plantes, non commercialisées, nécessitent un suivi régulier : une perte d'argent et de temps, diraient certains.

L'usage des plantes de services entre dans une stratégie de protection « durable » des cultures, qui oblige à modifier sa manière de travailler et de raisonner.
489
Contenu réservé aux abonnés du Lien Horticole
Pour y accéder : 3 possibilités !
21 %
Vous avez lu 21 % de l'article
Vous êtes déjà abonné,
Si vous n'avez pas de compte, inscrivez-vous. Vous aurez besoin de votre numéro d’abonné.
J'ai déjà un compteVous n’êtes pas abonné, abonnez-vous.
Profitez de l’intégralité des contenus du site en vous abonnant en formule Intégrale ou 100% Numérique.
Vous n’êtes pas abonné, découvrez gratuitement.
Profitez, sans engagement, de tous les services de Le Lien Horticole pendant 1 mois, y compris l’accès complet au site Internet.