PAR JEAN-LOUIS DUCHÉZEAU, EARL DUCHÉZEAU, SANCOINS (18)
« Votre édito du 29 janvier dernier nous expliquant que les baisses de production devraient nous permettre de ne pas baisser nos prix au printemps a retenu toute mon attention. Mais certains n'ont pas attendu le printemps pour les baisser : quand on voit les prix pratiqués dans certaines enseignes de grande distribution, début mars, sur primevères et pensées, je me demande comment l'horticulteur peut vivre. Qui a intérêt à de telles pratiques ? Quel avenir pour nos métiers dans ces conditions ? Il faudrait vraiment que chacun se remette en question et que les fournisseurs de ces enseignes cessent de casser les prix. Au passage, notez que le flou qui règne sur la TVA sur les terreaux est aussi en train de créer du grand n'importe quoi sur les prix.