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Paysalia S'adapter aux nouvelles tendances du paysage

Le prochain salon Paysalia permettra de désigner celui qui succédera à Luc Echilley dont le jardin lui avait permis de décrocher le titre de Maître jardinier lors de l'édition 2013. ©Pascal Fayolle Le prochain salon Paysalia permettra de désigner celui qui succédera à Luc Echilley dont le jardin lui avait permis de décrocher le titre de Maître jardinier lors de l'édition 2013. ©Pascal Fayolle
Le prochain salon Paysalia permettra de désigner celui qui succédera à Luc Echilley dont le jardin lui avait permis de décrocher le titre de Maître jardinier lors de l'édition 2013. ©Pascal Fayolle Le prochain salon Paysalia permettra de désigner celui qui succédera à Luc Echilley dont le jardin lui avait permis de décrocher le titre de Maître jardinier lors de l'édition 2013. ©Pascal Fayolle

La prochaine édition du salon est lancée. Elle aura lieu dans un contexte plus tendu, mais qui dessine d'autres horizons pour les professionnels...

La prochaine édition du salon est lancée. Elle aura lieu dans un contexte plus tendu, mais qui dessine d'autres horizons pour les professionnels...

Paysalia ouvrira ses portes le 1er décembre prochain à Eurexpo, à Lyon (69), pour les refermer le 3 décembre au soir. Ce sera la quatrième édition de ce rendez-vous, lancé en 2009 à l'initiative de l'Unep (Union nationale des entrepreneurs du paysage). Emmanuel Mony, alors président de l'Union, voulait en faire la manifestation référence du monde du paysage, les années impaires, en alternance avec le Galabau, qui se tient en septembre les années paires à Nuremberg, en Allemagne. Aujourd'hui, le salon est loin des dimensions de l'événement allemand, mais a parfaitement trouvé sa place au sein de la profession en France. La directrice de Paysalia, Noémi Petit, veut poursuivre le développement de cette rencontre en tant que salon généraliste, présentant l'ensemble des équipements et services nécessaires aux entreprises du paysage et aux services d'espaces verts des collectivités. Elle continue donc à s'appuyer sur des partenariats établis avec les institutions du monde des espaces verts, Hortis (Les responsables d'espaces nature en ville), l'AITF (Association des ingénieurs territoriaux de France), le CNVVF (Conseil national des villes et villages fleurs), la FFP (Fédération française du paysage), le SYNAA (Syndicat national de l'arrosage automatique), et la FNPHP (Fédération nationale des producteurs de l'horticulture et des pépinières).

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