Des chercheurs de l'Inra et de l'Université catholique de Louvain, en Belgique, ont montré que les végétaux ajustent les mouvements d'eau dans les racines en fonction du stress hydrique qu'ils ont subi préalablement. Ces mouvements d'eau, régis par des rythmes circadiens (oscillations journalières), dépendent de protéines appelées aquaporines. L'ouverture de ces « robinets » moléculaires - responsables de la « conductance hydraulique » - est maximale à l'aube, lorsque la demande hydrique augmente, et minimale au coucher du soleil. La croissance foliaire suit ce rythme : maximale la nuit et minimale pendant la journée.
Selon des travaux français et belges, les végétaux régulent leur croissance selon les conditions climatiques préalables.
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