Séverine et Frédéric Hervy se souviendront du premier anniversaire de leur reprise des serres de Misery, qui produit des fleurs coupées. Installés à Vert-le-Petit, en Essonne, ils se rendaient quatre fois par semaine au marché de Rungis (94). Ils vendaient, à leurs clients habituels, des bacs composés chacun de 50 tiges d’une même couleur d’œillets de poètes ou de giroflées, par exemple. Mais le 17 mars, le marché d’intérêt national a fermé ses portes. Les clients fleuristes également. Tout s’est figé.
Le secteur des fleurs pour bouquets a beaucoup souffert du confinement. Les serres de Misery (91) ont ouvert une boutique en ligne où professionnels et amateurs retirent leur commande.
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