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ENA La Serbie, futur fournisseur en pépinière ?

Une pépinière en Pologne. Ce pays, membre de l'ENA, voit ses mises en culture progresser, ses marchés du jardin et des collectivités se développer, mais ses prévisions d'exportations se rétracter.  ©Valérie Vidril Une pépinière en Pologne. Ce pays, membre de l'ENA, voit ses mises en culture progresser, ses marchés du jardin et des collectivités se développer, mais ses prévisions d'exportations se rétracter.  ©Valérie Vidril
Une pépinière en Pologne. Ce pays, membre de l'ENA, voit ses mises en culture progresser, ses marchés du jardin et des collectivités se développer, mais ses prévisions d'exportations se rétracter. ©Valérie Vidril Une pépinière en Pologne. Ce pays, membre de l'ENA, voit ses mises en culture progresser, ses marchés du jardin et des collectivités se développer, mais ses prévisions d'exportations se rétracter. ©Valérie Vidril

L'association européenne des pépinières a dressé un tableau de bord de la production mondiale, soulignant les différences des mises en culture.

L'association européenne des pépinières a dressé un tableau de bord de la production mondiale, soulignant les différences des mises en culture.

L'ENA (European nuresry stock association ou association européenne des pépinières) a tenu son assemblée générale à Helsingborg, en Suède, du 16 au 18 juin 2015. Depuis que la France a choisi de ne plus y participer, cette association compte 15 pays membres : Allemagne, Belgique, Bulgarie, Danemark, Espagne, Finlande, Irlande, Italie, Pays-Bas, Norvège, Pologne, Serbie, Suède, Suisse, Royaume-Uni.Un point détaillé a été effectué concernant les problèmes phytosanitaires, avec en particulier un débat sur la bactérie Xyllela fastidiosa. Les pays présents ont fait part de leur préoccupation et ont affirmé leur confiance en l'Union européenne pour gérer le dossier. Les pépiniéristes soutiennent les dispositifs mis en place mais ne souhaitent pas de mesures plus contraignantes concernant la circulation des biens au sein de l'UE. Ils se sont mis d'accord pour demander aux instances européennes des fonds pour assurer la détection rapide des foyers de la bactérie, l'indemnisation des producteurs quand des plantes doivent être détruites et l'accélération de la recherche dans le domaine de la lutte contre la bactérie et les autres pathogènes de quarantaine.Le problème des invasives a aussi été abordé, l'ensemble des participants regrettant que la législation ne facilite pas assez la sélection de variétés stériles et non invasives d'espèces qui elles peuvent être envahissantes.Enfin, une mise à jour de la liste des noms de plantes produites en Europe est en cours. Elle est annoncée pour la fin de cette année.

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