Le passeport phytosanitaire européen, obligatoire depuis le 14 décembre 2019, doit se conformer à des consignes précises. Doivent y être mentionnés le nom botanique, le code de traçabilité du végétal, le code du pays d’origine et le numéro d’enregistrement de l’expéditeur.
Pour un grand nombre d’horticulteurs, qui n’avaient jusqu’alors pas besoin de système d’impression d’étiquettes, cette nouvelle obligation est compliquée à mettre en place.
Pour répondre à ces nouveaux besoins, plusieurs sociétés se sont déjà lancées sur ce marché.
Certaines proposent par exemple des imprimantes capables d’imprimer des étiquettes en papier à apposer sur les pots. L’entreprise allemande Koenig & Bauer a quant à elle mis au point une machine qui imprime le passeport phytosanitaire européen directement sur les pots plastiques.
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Passeport Phytosanitaire Européen Des outils pour faciliter l’étiquetage des plantes

Quelques mois après l’entrée en vigueur du nouveau règlement européen sur la santé des végétaux*, plusieurs entreprises proposent des solutions et outils pour faciliter l’apposition du PPE (passeport phytosanitaire européen).
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